Préambule

René CAPO à été coordinateur du comité de vigilance de Biscarrosse depuis sa création en 2001 jusqu'en 2014 ainsi que du collectif Aquitain contre les rejets en mer (2005-2006).

Il est également l'un des membres fondateurs de l'Association pour la Défense, la Recherche et les Études Marines de la Côte d'Aquitaine (ADREMCA) en 1979.


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vendredi 24 juillet 2015

Si le requin venait à disparaître...
 La ville de Vernet-Les-Bains propose des repas/concert :
"Requin à la broche"

Pour rappel, plus de 11 000 requins sont tués toutes les heures dans le monde. Si vous vous entendez dire que ce n’est pas illégal, vous pouvez répondre que lorsque les interdictions sont mises en place, il est déjà trop tard (cf. l’exemple le plus connu avec la morue de l’Atlantique Nord).
 Si le requin venait à disparaître
 Une vidéo extraite de l'émission les requins de la colère et qui nous explique le rôle primordial des requins sur la chaîne alimentaire.

Puis son importance dans l'écosystème et le bon fonctionnement des océans.

A visionner sur grand écran  : http://www.dailymotion.com/video/x2nb3qx
Planète requin :

Sibylline-Médecine :

samedi 18 juillet 2015

Ensemble, faisons entendre la voix de l’Océan !

- Pour une très large diffusion -
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Ensemble, faisons entendre la voix de l’Océan !
 Cette pétition prend de l'ampleur sur Change.org, nous pensons que vous souhaiteriez peut-être la signer :
Romain Troublé , secrétaire général de Tara Expéditions,
est revenu sur la pollution plastique dans la mer Méditerranée.
France
Un Océan en bonne santé, c'est un climat préservé.
Ensemble, faisons entendre la voix de l'Océan !
L’Océan nous fait rêver. Il est à l’origine de toute la vie sur notre planète, celle de nos parents, de nos enfants. Il n’y pas si longtemps, nous avons découvert que l’Océan est notre « poumon bleu ». C’est lui qui fabrique la moitié de notre oxygène et c’est donc grâce à lui que nous respirons partout sur Terre.
J'ai été marin professionnel. C'est lors de ces expériences incroyables que je suis tombé amoureux de ces espaces immenses, pour leur beauté, leurs mystères, leurs incroyables richesses. J'organise maintenant depuis plus de 10 ans des expéditions environnementales et scientifiques en mer. Et c'est parce que je ne comprends pas que l'Océan ait été trop longtemps oublié que je souhaite me mobiliser aujourd'hui avec vous pour lui donner une voix lors de la conférence cruciale de la COP 21. 
L’océan c’est aussi le cœur de notre climat. Il est le thermostat de notre planète : il transporte, avec ses courants chauds et froids, tout ce qui est utile à notre climat pour garder son bon équilibre.
Mais avec les pollutions qu’il subit et le changement climatique, l’Océan se réchauffe peu à peu et respire de moins en moins bien. Réchauffement, fonte des glaces, élévation du niveau des mers, acidification des Océans, disparition des coraux, l’Océan est en train de souffrir silencieusement.
En décembre 2015, à Paris, les décideurs du monde entier vont se réunir lors de la grande conférence internationale pour le climat.
L’Océan, qui nous rend de grands services depuis des milliards d’années et qui nous protège encore du réchauffement climatique, n’a pourtant pas été invité pour parler de notre avenir. En effet, la question des océans ne fait pas partie de l'agenda de cette rencontre cruciale. Trop peu des décideurs savent que pour protéger notre climat, il va falloir protéger l’Océan et vite, très vite.
Nous devons donc agir pour que l'océan soit lui aussi intégré dans ces discussions : si la protection des océans fait parti des débats, cela voudra dire que nous pourrons mieux les protéger pour les aider à continuer à nous fournir ce dont nous avons besoin pour vivre.
Nous devons donc envoyer un signal fort pour demander aux responsables de cette grande conférence d'intégrer les océans dans les discussions de la Conférence internationale pour le Climat.
Comment?
En signant notre Appel et en incitant tous nos amis et notre famille à faire de même. Nous remettrons vos signatures aux décideurs du monde entier lors de la grande conférence de Paris Climat 2015.
Aidez-nous à rassembler 100.000 signatures pour qu’elles fassent vraiment bouger les lignes des négociations climatiques !
Retrouvez l'Appel de l'Océan pour le Climat et les propositions tels qu'il seront remis aux Etats signataires de la Convention sur le Changement Climatique des Nations Unies à la fin de l'année à Paris : 
Signer la pétition sur :  www.ocean-climate.org
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L'OCEAN C'EST LA VIE !
Aujourd'hui ce sont des scientifiques, des ingénieurs, des techniciens courageux parmi lesquels des océanographes, des biologistes, des vétérinaires de la mer, des climatologues, des toxicologues, des épidémiologistes, des géographes, des écologues et bien d'autres disciplines qui tirent le signal d'alarme.
 Sachant les écouter et agir avec eux avant qu'il ne soit trop tard…
René Capo

samedi 11 juillet 2015

«Tous les déchets terminent à la mer»


Sandra Bessudo, la Colombienne.
INTERVIEW de la lauréate de la Grande médaille Albert Ier, remise par l’Institut océanographique, veut sensibiliser à la protection de l’environnement...
Propos recueillis par Audrey Chauvet :
«Tous les déchets terminent à la mer»
«Ce n’est pas un travail, mais un bonheur de lutter pour ce qu’on aime»
Sandra Bessudo a dédié sa vie à la protection de l’île de Malpelo et des requins qui y nagent.
Perdu à 490km de la côte colombienne, cet îlot en volcanique de seulement 1,2km² ne semblait pourtant pas susceptible de déchaîner les passions. Mais Sandra Bessudo, biologiste, y a découvert une biodiversité extrêmement riche et menacée par les pêcheurs et les contrebandiers.
Après avoir créé une fondation et réussi à faire classer Malpelo au Patrimoine mondial de l’humanité, la Colombienne a reçu  la Grande médaille Albert Ier, une distinction qui récompense depuis 1948 les scientifiques travaillant sur le monde marin.

Pourquoi était-ce difficile de protéger l’île de Malpelo?
Au début, j’étais toute seule dans cette lutte. J’ai créé une fondation puis je me suis lancée pour protéger les requins. Le plus dur au début était de faire connaître l’île, méconnue même des Colombiens, puis il a fallu convaincre le gouvernement de créer des programmes de protection de la faune et de la flore. Tout est venu petit à petit.

Vous êtes aujourd’hui conseillère du gouvernement colombien sur les questions d’environnement. Est-ce là qu’il faut être pour obtenir des résultats?
Je travaille avec le gouvernement mais je ne fais pas de politique. J’y suis plutôt pour faire bouger les choses plus rapidement et parler avec les gens qui prennent les décisions. C’est plus rapide pour faire passer les messages!

Vous avez reçu la Grande médaille Albert Ier section médiation, qui récompense vos efforts pour faire connaître les problématiques des océans au plus grand nombre. Que pouvons-nous faire à notre échelle pour protéger les océans?

Il faut d’abord faire attention à ce que l’on consomme et éviter de manger des espèces de poissons menacées. Ensuite, il faut bien penser que tous les déchets terminent à la mer: ce qu’on jette dans l’évier, les produits nettoyants, les déboucheurs…  L’eau part dans les rivières, puis dans les mers. Il est important de ne pas y déverser n’importe quoi, pour la sécurité alimentaire des hommes et pour la biodiversité.
Ne manquez pas le remarquable reportage de 26 minutes tiré du 52' de Scuba-Production, Talents RM Prod et Blue Sphere Media sur le Sanctuaire de Flore et Faune de Malpelo, dans le Pacifique oriental.
Film réalisé par Patrick Masse :

"LE ROCHER DE LA CONVOITISE"  (26')

Ancre de bronze au 46ème Festival International du Film Maritime, d'Exploration et d'Environnement de Toulon 2014.
Sélection officielle au 41ème Festival Mondial de l'Image Sous Marine à Marseille 2014
A l'honneur à la 27ème Fête Européenne de l'Image Sous-Marine et de l'Environnement à Strasbourg en mars 2014.

jeudi 9 juillet 2015


En souvenir de
Paul Capdevielle
Publié dans le  SUD-OUEST LANDES du samedi 04/07/2015 par Francis Nin
 
Photo F. N.
René Capo (à g.) et des membres du comité de soutien ont été reçus par le maire.

À l'initiative du Biscarrossais René Capo, un comité de soutien pour honorer la mémoire de Paul Capdevielle a été créé, il y a quelques mois. Son objectif est de rendre hommage à cet homme qui a profondément marqué la vie scientifique, archéologique, écologique, culturelle et sportive sanguinetoise, voire au-delà des frontières du Born.

Un touche-à-tout brillant
 
Paul Capdevielle, personnalité hors du commun, reconnu par le monde scientifique, était un homme généreux et affable, apprécié pour son implication dans la commune.

« Autodidacte passionné par les algues d'eau douce, il fut particulièrement attentif aux évolutions de la qualité des eaux du lac. Il était devenu un des spécialistes français des desmidiées, ces micro- algues vertes, précieux indicateur de la qualité chimique des eaux », précise René Capo au nom du groupe de soutien dans un courrier adressé au maire.

Si les recherches de ce docteur en biologie ont notamment contribué aux actions visant à l'amélioration de la qualité des eaux du grand bleu, Paul Capdevielle a été le fondateur du Centre de recherches et d'études scientifique de Sanguinet (Cress) en 1976. Sa curiosité et son engagement dans la recherche archéologique permettront de valoriser et de faire connaître le patrimoine sublacustre inestimable découvert au fond du lac.

Un échange reconnaissant

Dans la perspective de cet hommage, un dossier, rassemblant divers documents d'archives sous forme d'étude, d'articles de presse et témoignages de scientifiques a été remis au maire Fabien Lainé, en présence des adjoints, Raphaëlle Miremont et David Rodríguez, lors d'un entretien en mairie, jeudi 25 juin.

À l'issue d'un échange reconnaissant, les élus ont émis l'idée d'honorer sa mémoire à l'occasion de la Nuit des musées 2016 et de soumettre au Conseil municipal d'apposer son nom sur l'espace autour du musée.

Vingt-six ans après sa mort, le souvenir de Paul Capdevielle devrait être enfin distingué, eu égard aux qualités de cet homme de valeur.

Francis Nin
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 Le Comité de soutien :

Au cours de la réunion chaque membre de la délégation du Comité de soutien a pris la parole pour se présenter et rappeler les liens qui l'unissait aux souvenirs de Paul Capdevielle.

Un dossier contenant de nombreux documents d'archives sous forme d'étude, d'articles de presse, de témoignages de scientifiques et de quelques revues " Le pêcheurs Landais" datant des années 1972 à 1975 a été remis à Fabien Lainé, maire de Sanguinet ainsi qu' une étude de la "Diversité  en cyanobactéries des plans d'eau de Biscarrosse" datant d' Avril - Aout 2012 réalisée par Eric Capo, doctorant à la station lacustre de Thonon-les-bains.
 
Un rendez-vous est prévu début octobre 2015 avec monsieur le Maire pour que le "Comité de Soutien" puisse apporter sa contribution dans le cadre d'une exposition dédiée à Paul Capdevielle à l'occasion de la Nuit des musées 2016.
 
Tous nos remerciements à Monsieur le Maire ainsi qu' aux adjoints, Raphaëlle Miremont et David Rodríguez,pour la qualité de leur acceuil et l'interet qu'ils ont bien voulu apporté  à notre démarche.
 
Je tiens à remercier tous les membres du Comité de soutien pour leur précieuse contribution à la constitution du dossier "Paul capdevielle" avec un grand merci particulier à Monique Brot, véritable mémoire vivante du parcours de cette forte personnalité.
 
Notre délégation était représentée par :
Monique Brot, membre du CRESS
Josette Devant, membre du CRESS
Annie Depalle, petite fille de Paul Capdevielle
Alain Dutartre, hydrobiologiste (ex Irstea)
Joël MEYER, vice-président du Comité de Vigilance de Biscarrosse
René Capo, membre du Comité de Vigilance de Biscarrosse
 
Francis Nin, correspondant du Sud-Ouest

Bien cordialement
René Capo
http://renecapo.blogspot.fr/
Nota : Dans un prochain "Plaidoyer pour une Planète Propre" seront diffusés quelques articles de presse  et photos pour mieux faire connaitre ou découvrir ce personnage hors du commun.

jeudi 2 juillet 2015


Petit geste citoyen, que l'on aimerait voir très souvent…

"... On jette un gobelet dans la rue, puis on attend que quelqu'un le ramasse... et le jette dans une poubelle" !

A diffuser sans modération

Vidéo reçue de l'Association : Gujan-Mestras Environnement